PARIS et la PROVINCE

Il y a bien deux France, celle d’en haut et celle d’en bas, c’est vrai et j’en reparlerais, mais je veux parler de l’Ile de France et du reste du pays, que l’on peut appeler « la province ».
Lorsque l’on est ces dernières semaines devant les informations de la télévision, à écouter les radios nationales ou à lire un journal national, il y a Paris / Ile de France eavec ses millions d’habitants et la province comme nos villes moyennes, Bourges, Blois, Nevers, Châteauroux .. etc L’Ile de France est bloquée par 10 centimètres de neige, et c’est la seule information que nous recevons en boucle.mais dans cette zone, il suffit d’un peut de crachin et c’est un fort ralentissement routier, c’est la pluie forte et c’est une succession de bouchons, alors avec la neige, c’est l’asphixie !
Les parisiens sont bien malheureux, mais pour rien au monde ils ne voudraient venir en province, où si il y a un peu de neige, il faut attendre.
Sur le logement, c’est la même chose, il ne s’écoule pas trois jours sans qu’une manifestation sur le droit au logement se déroule à Paris, car il y a vraiment un problème de manque de logement. Alors qu’en province et à Bourges, il y a des logements sociaux disponibles et d’autres en cours de construction ou de réhabilitation.
Pourquoi cet attrait de Paris ? ce n’est pas pour les musées, l’Opéra ou les concerts de Bercy, non, c’est pour le travail. Le travail se trouve plus facilement, surtout en période de crise à paris plutôt qu’à Bourges et c’est tout le problème.
Paris continue à construre des immeubles pour des bureaux, des bureaux, et encore des bureaux, alors que les techniques d’aujourd’hui permettent de travailler dans de nombreuses professions en Berry avec Internet, les E Mails, la visio conférence … etc
Il faut à mon sens revoir la répartition économque au niveau des territoires et comme dans les années 1970, favoriser la décentralisation massive, faire une vraie révolution et cesser de ne penser qu’à paris et à l’Ile de France.
mais il n’y a pas de volonté politique, et surtout avec la mondialisation et le libéralisme, c’est une culture qui s’en va, une manière de vivre et de bien vivre.

Je dois des excuses à ceux qui sont venus à Cultura afin que je dédicace chacun des 5 ouvrages que j’avais publié en 2010, je n’y étais pas. Au dernier moment, alors que des accords avaient été pris début décembre avec une personne du servcie livres de Cultura, les supérieurs ont refusé ne trouvant pas de place … problème de sécurité. Un manque d’élégance que et une arrogance que je regrette…. Je n’irais plus chez ce commerçant ! car si les auteurs ont besoin de libraires, les libraires ne seraient rien sans les auteurs.

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